Quatrième jour, je pars en quête d’un ruisseau de montagne.
Pas de problème pour descendre la montagne, en revanche je m’essouffle plus rapidement en monté. Le cœur bat plus.
J’arrive au ruisseau… Toute cette eau… C’est une orgie. Je remonte le ruisseau, j’humidifie ma bouche à volonté, je me baigne. Elle est fraîche comme je les aime.
Sans boire ni manger, mon corps adore l’eau froide et s’adapte beaucoup plus vite. Je prends aussi les douches les plus froides possibles.
Je marche sur la route pour remonter tout en faisant du stop. J’étais bien lent pour la montée. Un camping car me prend.
